La cyberguerre fait régulièrement la Une des journaux et sites. Au-delà de la présentation des armes cyber, il est fondamental de rappeler que des opérations de renseignement et de sabotage bien organisées sont plus efficaces que des attaques informatiques pour déstabiliser un pays. Et si les maillons faibles étaient les infrastructures ? Et si tout ce matraquage autour de la cyberguerre profitait principalement aux vendeurs d’équipements et de logiciels de sécurité ? Éric Filiol, Directeur du laboratoire de virologie et de cryptologie opérationnelles à l’ESIEA, présente en détail cette méthodologie qui a été présentée aux Etats-Unis lors de ICCWS